
12 perles d'indie folk habitée aux relents psychédéliques : voilà une des bonnes surprises de l'année 2009. Les compositions richement arrangées se construisent autour d'une base de guitares grinçantes et de piano hanté  au dessus desquelles flotte la voix fragile de David Michael Stith. On pense souvent à Thom Yorke, avant que des chœurs fantomatiques et des bandes inversées ne nous emmènent errer du côté de Matt Elliot et de ses  slaves ambiances mélancoliques. Toujours à la marge, surprenant du début à la fin, Heavy Ghost surprend par ses arrangements divins, son sens de la mélodie et son inventivité.
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